Ne pas s'arrêter
ne pas l'arrêter
pierre percée
à vous pensées
sans grillage
évadées.
Pas pas
il n'y
a
plus
mer retirée
passé lésé
vide enterré
perlerait la sève...
Un homme ou deux venaient
sous la grande ourse
on était enlevés, kidnappés en douce
main par la main
dirigés vers le brasero
il fallait attendre:
désordre. A trois pas
Amman, Beyrouth, Damas
Marcher. Des ombres sans lumière.
Putain le sable dans la bouche,
goût de miel.
Au troisième jour des branches d'olives
suspendues
Cornes et vermicelles remplissent les
dents écartelées
My goodness? Where shall we go?
Damas?
Silence
Don't worry-répondit le veilleur
Vent vent vent
graines de prière
Marcher: ciel porte les chemins
au soleil levant
Penser: pierre dans nos veines
de lie et de vin
Regarder
Aperçu deux silhouettes
des mariées, amusées.
Mets, douceurs, senteurs
pour la veillée des danseurs
parcheminaient la table.
"Otons le gâté"
murmure l'une à
la mariée seconde
yeux mi-clos
///
Sur les feuillets Trous, Moisissures
l'encre d'un carnet chagrin
///
Air de viole
notes clavecines
vespérée endiablée
///
nous sommes au festin
de blanches déesses?
///
Les mots disparaissent encore
Exilés.
les carnets
succins
témoignent.
Vies d'otages de haut
de bas
de choix.
Veilleur aimé, vie partagée?
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